1. |
Le prix de l'or
03:58
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Un jour s’endort
Un autre se lève
Les sages ignorent
Où est-ce qu’ils nous mènent
Je pige au sort
Dix mille voies se dressent
Le prix de l’or
En temps d’allégresse
Car je ne fais que passer
Oui je ne fais que passer
Mon amour passe
Comme d’autres avant lui
Je sens l’impasse
Qui attend nos vies
Car je ne fais que passer
Oui je ne fais que passer
Un jour s’endort
Un autre se lève
Les sages ignorent
Où est-ce qu’ils nous mènent
Je pige au sort
Dix mille voies se dressent
Le prix de l’or
En temps d’allégresse
Car je ne fais que passer
Oui je ne fais que passer
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2. |
Les atomes
03:56
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Coincé dans le hasard
Il s’abîmait les pieds sur les cordes
Qui relient les étoiles entre elles
Il n’aura fallu qu’un regard
Pour que les deux atomes se fusionnent
Qu’ils gravitent ensemble éternels
Nous sommes enfin prêts à décoller
Décoller, décoller
Décoller, décoller
Il était la voix qui dissone
Qui n’avait jamais la chance de briller
Laissé dans l’ombre d’une masse sombre et sans pitié
Maintenant qu’ils unissaient leurs formes
Il pouvait se réinventer
Un univers libre et déjanté
Nous sommes enfin prêts à décoller
Décoller, décoller
Décoller, décoller
Astres froids de lumière bleue
Surtout ne me laisse pas seul avec eux
Jamais plus je ne veux errer dans les cieux
Nous sommes enfin prêts à décoller
Décoller, décoller
Décoller, décoller
Décoller, décoller
Décoller, décoller
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3. |
Droit dedans
03:01
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Y’a quelqu’un qui m’appelle Ah oui le désir
Mais qu’est-ce qui t’amène À me contredire
Tu sais que je vais foncer droit dedans Tu sais combien je flanche facilement
Si au moins tu avais Quelque chose à dire Si au moins tu servais À nous embellir
Tu sais que je vais foncer droit dedans Tu sais combien je flanche facilement
Chaque fois je me promets De te faire mentir
Tu reviens à jamais T’aimes trop démolir
Tu sais que je vais foncer droit dedans Tu sais combien je flanche facilement Tu sais que je vais foncer droit dedans Tu sais combien je flanche facilement
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4. |
Quand tout déchire
04:13
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Ça fait des mois qu’elle gronde
Toi tu ne l’entends pas là-haut
T’observes la cage
Elle pourrait te surprendre
Tu ne saurais obsoler les mots
Qui gavent sa rage
Elle se décide elle fonce sur toi
Quel imbécile tu fais maintenant
Quand tout déchire
Ne tourne pas à gauche
Elle te trouvera où que tu sois
T’es fait comme un rat
T’aurais dû voir les autres
Leur laisser une toute petite place
Maintenant t’es la proie
Elle se décide elle fonce sur toi
Quel imbécile tu fais maintenant
Quand tout déchire
Tu échangeras les rôles
Pour mieux siphonner le gaz
Jamais t’apprendras
Sur ton nouveau trône
Tu voudras faire table rase
Mais elle renaîtra
Elle se décide elle fonce sur toi
Quel imbécile tu fais maintenant
Quand tout déchire
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5. |
Renverser le mal
04:16
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Là où je commande
On me suit aveuglément
L’air pur inspire la foi
Je forge en silence
Ce monde paisible et grand
Mon réveil est choquant
Mais quand j’ai le vent dans les voiles
J’suis prêt à renverser le mal
Même si dans les faits c’est perdu d’avance
Je dis c’est parfait, aucune différence
Je vends une cause
Qui m’paie argent comptant
Tu peux oublié ton plan
Plus je m’expose
Plus on like mes choix
On flatte mon ego de roi
Moi quand j’ai le vent dans les voiles
J’suis prêt à renverser le mal
Même si dans les faits c’est perdu d’avance
Je dis c’est parfait, aucune différence
Je le sais, je le sais, je le sais pourtant
Je le sais, je le sais, je le sais pourtant
Je veux que tu changes
Allez joins donc les rangs
Tu me décourage tant
Je n’prends plus la chance
De nuire à mon combat
On m’a trahit trop souvent
Moi quand j’ai le vent dans les voiles
J’suis prêt à renverser le mal
Même si dans les faits c’est perdu d’avance
Je dis c’est parfait, aucune différence
Je le sais, je le sais, je le sais pourtant
Je le sais, je le sais, je le sais pourtant
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Ressak Québec
« Pour le dire autrement, le rock n’est pas issu d’un gêne naturel mais né d’un geste intentionnel »
« Le rock est un
cri, une protestation, un son semblable à celui d’un éternel Ressak qui se brise contre les parois des mots »
« Le punk, ça va ça vient, c’est un flux inévitable, un Ressak incessant. »
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